Interpretación de Sueños...

Creado por Sigmund Freud y su psicoanálisis, por la necesidad de dar un sentido al inconsiente, y con esto entender el motivo de las conductas.

Según esta teoría, los sueños es la forma en que se manifiestan los deseos repremidos, necesidades de las personas, es ese motor que te provoca el actuar de una forma u otra, pero que, debido a que de alguna forma dañan la ansiedad de las personas, son mandados a un "cajón", en donde sólo pueden salir siendo evocados con ayuda, como la interpretación y la hipnósis.

Bueno con esta pequeña introducción... creo que podremos empezar a dar sentido a tus necesidades...

cuentame tu sueño...


Créée par Sigmund Freud et sa psychanalyse, pour la nécessité de donner un sens à l'inconscient, et ainsi comprendre le pourquoi du comportement.

Selon cette théorie, les rêves sont la forme sous laquelle se manifestent les désirs refoulés et les besoins des personnes. C'est ce moteur qui te fait agir de telle manière ou d'une autre, mais qui, du fait que d'une certaine façon il provoque l'anxiété des personnes, ces désirs sont envoyés à une "boîte", d'où ils ne peuvent sortir qu'en étant évoqués par divers moyens, comme l'interprêtation et l'hypnose.

Bien, avec cette petite introduction... Je crois qu'on pourra commencer à donner un sens à tes besoins...

Raconte-moi ton rêve...

Holaaa!!!

Gracias!! Ahora tengo varias cosas que hacer, pero luego te cuento, vale?

Un beso,

BTB

P.D.: Te importa si te pongo de amarillo, después?


Coucou!!!

Merci!! Maintenant, j'ai deux-trois trucs à faire, mais après je te raconte, d'accord?

Bisou,

BTB

P.S.: Ca te dérange si je mets ton texte en jaune, après?

Bien.
Ahora voy.

Basicamente, sueño con mi hermano.
Todo esta bien, pero rapidamente, para una tonteria, empezamos a ponernos muy nerviosos. Con desdén, con mala ironia, con sarcasmas, con provocacion, etc., en fin : un espiritu muy malo. El problema es que cuando estamos asi, es una cuestion de honor : ninguno de nosotros quiere permitir al otro tener la razon.
Es aun mas insoportable, como sensacion, porque cada uno esta a punto de pegarse fisicamente, pero ninguno se atreve a hacerlo, y eso por respecto (aunque en esos momentos, nos odiamos, no podemos pasar este limite). Eso se suma a la frustracion y entonces al nerviosismo.
Generalmente, este estado de tension, o la disputa misma, se termina con una intervencion exterior o cuando uno de los dos piensa haber ganado el duelo y que se va para que se termine asi.

Eso es tipicamente lo que pasaba en realidad desde que eramos niños hasta que mi hermano haya intentado suicidarse. Desde entonces, nos animamos a dejar estas tonterias, y sobre todo yo, para no poner mas mi hermano en un estado indeseable.

Sin embargo, mi sueño no se acaba asi.
En el momento mas alto de nerviosismo en la disputa, me doy cuenta de que eso no puede ser : eso pasaba antes. Ahora hemos dejado estas tonterias. Porqué volvemos a hacerlo ahora? No tiene sentido, etc.
A pesar de que me estoy dando cuenta de eso, no cambio mi actitud, siento que ya no estoy completamente maestro de mi cuerpo y de mi mente, y me vuelvo casi espectador desde adentro, y de manera patética, ya que veo toda la situacion y que no puedo actuar.
Generalmente, es a este momento que me despierto : se volvio una pesadilla insoportable.

Creo que es todo. Este sueño es recurrente : creo haberlo soñado como 5 o 6 veces. Tal vez mas. La primera vez que me ocurrio, todavia estaba en Francia (o sea hace mas de 2 años, y entonces mi hermano todavia estaba muy fragil psicologicamente), y cuando me desperté, era ya la hora de comer. Asi que fui a la cocina y comi con mi madre y mi hermano. No pude mirar a mi hermano en los ojos, y ni siquiera pude hablar. Tenia un sentimiento de culpabilidad enorme y lo evité durante 3 dias. Era solo un sueño pero no podia volver completamente a la realidad y este sentimiento se me quedaba pegado. No le he contado de eso.


Bien.
Allons-y.

En fait, je rêve de mon frère.
Tout se passe bien, mais rapidement, pour une connerie, on devient nerveux. Avec du dédain, de la mauvaise ironie, des sarcasmes, de la provocation, etc., bref : un très mauvais esprit. Le problème c'est que quand on est comme ça, c'est une question d'honneur : aucun de nous ne veux permettre à l'autre d'avoir raison.
C'est encore plus insupportable, comme sensation, parce que chacun a très envie d'en venir aux mains, mais aucun ne le fera, et cela par respect (bien qu'à ces moments-là, on se hait, on ne peut se résoudre à franchir cette limite). Cela ajoute à la frustration et à la nervosité.
En général, cet état de tension, ou la dispute même, se termine par une intervention extérieure ou quand un de nous deux pense avoir gagné le duel et qu'il se barre pour en rester là.

Ceci est typiquement ce qui se passait en réalité depuis qu'on était môme jusqu'à ce que mon frère ait tenté de se suicider. Dès lors, on s'est arrangé pour laisser tomber ces conneries, et particulièrement moi, pour ne pas mettre mon frère dans un état indésirable.

Cependant, mon rêve ne se termine pas ainsi.
Au climax de la nervosité dans la dispute, je me rends compte que ce n'est pas possible : ça se passait avant. Maintenant on a laissé tombé ces conneries, merde. Pourquoi est-ce qu'on recommence à le faire, maintenant? Ca n'a pas de sens, etc.
Bien que je m'en rende compte, je ne change pas mon attitude, je sens que je ne suis plus complètement maître de mon corps et de mon esprit, et je deviens presque spéctateur de l'intérieur, et de manière pathétique puisque je vois toute la situation, impuissant.
En général, c'est à ce moment-là que je me réveille : c'était devenu un cauchemar insupportable.

Je crois que c'est tout. Ce rêve est récurrent : je crois que je l'ai fait environ 5 ou 6 fois. Peut-être plus. La première fois que je l'ai fait, j'étais encore en France (donc il y a plus de 2 ans, et mon frère était donc encore assez fragile psychologiquement), et quand je me suis réveillé, il était l'heure de manger. Je suis donc allé à la cuisine et j'ai mangé avec ma mère et mon frère. Je n'ai pas pu regarder mon frère dans les yeux, je n'ai même pas pu lui parler. J'avais un sentiment de culpabilité énorme et je l'ai évité pendant 3 jours. C'était juste un rêve mais je ne pouvais pas retourner complètement à la réalité et ce sentiment me poursuivait. Je ne lui ai pas raconté tout ceci.

BTB

Venga, mi asaltacuna, sin vergüenza. Si te he pedido eso, es que me importa mucho.

- Cuantos años tenías cuando tu papá dejó de estar con ustedes?

Núnca o casí núnca mi padre ha precisamente estado con nosotros.
Sin embargo, fue oficial con el divorcio cuando tuve 10 años (y mi hermano 7). Luego nos vimos de manera muy esporadica hasta los 12.
A partir de los 12 hasta los 17 (o sea toda mi adolesencia), núnca lo ví. Lo contacté yo por el día de los padres, despues de haber escuchado a mi hermano renegarlo.

- A que edad comienzas a fastidiar a tu hermano?

Nos fastidiamos desde siempre. No puedo decirte una edad. Por supuesto, el climax era durante nuestra adolesencia, hasta que el intente suicidarse.

- Imagina a tu mamá y dime que sentimientos provoca en ti (esto mismo hazlo con tu hermano y tu papá)

Mi mama : apoyo; seguridad; representante de la única autoridad prevaliendo sobre mí que yo acepte; confianza.

Mi padre : resentimiento por su ausencia, su falta de interés (de padre a hijo) para mi hermano y para mí. Y por el hecho que las únicas conversaciones que llevamos a cabo es acerca del dinero. A pesar de todo, una cierta admiración.

Mi hermano : culpabilidad; me siento responsable de el; lo amo; me siento el deber de educarlo, pero siento que fallo, y que es relativamente tarde.


Aquí lo tienes. Si quieres que sea más explicito, no dudes en preguntar.

BTB · En el sofa

Vas-y, mon attaque-berceau, n'hésite pas. Si je t'ai demandé de le faire, c'est que c'est important pour moi.

Quel âge avais-tu quand ton père a cessé d'être avec vous?

Il n'a jamais ou presque été vraiment avec nous.
Cependant, ça a été officiel avec le divorce quand j'ai eu 10 ans (et mon frère 7). Ensuite on se voyait de manière sporadique jusqu'à mes 12 ans. De 12 à 17 ans (c'est-à-dire toute mon adolescence), je ne l'ai jamais vu.
Je l'ai appelé le jour de la fête des pères, après avoir entendu mon frère le renier.

À quel âge as-tu commencé à faire chier ton frère?

Nous nous faisions chier mutuellement depuis toujours. Je ne peux pas dire un âge. Bien sûr, l'apogée était pendant notre adolescence, jusqu'à ce qu'il tente de se suicider.

Imagine ta mère et dis-moi quels sentiments cela provoque en toi (de même avec ton frère et ton père)

Ma mère : appuis; sécurité; représente la seule autorité qui prévale sur moi et que j'accèpte; confiance.

Mon père : Rancune pour son absence, son manque d'intérêt ('un père pour son fils) pour mon frère et moi. Et pour le fait que les seules conversations qui se terminent sont à propos d'argent. Malgré tout, une certaine admiration.

Mon frère : culpabilité; je me sens responsable de lui; je l'aime; je me sens le devoir de l'éduquer, mais je sens que j'échoue, et que c'est relativement trop tard.

Voilà. Si tu veux que je sois plus explicite, n'hésite pas à demander.

BTB · Sur le canapé

te mandé un mensaje personal, checalo saz!


Je t'ai envoyé un message privé, regarde-le!

vamos a hacer esto:

Una noche antes de dormir, escibe una carta dirigida a tu padre, en ella escribe todo lo que quieres, lo que sientes o sentiste en algún momento de tu vida...

Sé que talvez te cueste trabajo al principio, pero poco a poco verás que se va facilitando, si es necesario recurre a recuerdos, pasajes de tu vida, necesidades etc... pero por favor que no sea menos de media cuartilla, que sea carta, no recado vale!

Otro día por la mañana o en la tarde, lee esta carta en voz alta y prestale atención, y por favor me dices que es lo que pasó en todo el proceso (si tuviste indecisiones al comenzar la carta, el proceso de hacerla, que sentiste al leerla y al final)

Luego te digo el por que de este ejercicio, y veremos si los objetivos se cumplen saz!

Cuidate


On va faire ça:

Une nuit, avant de dormir, écris une lettre à ton père, tu y écris tout ce que tu veux, sens ou aies senti à un moment de ta vie...

Je sais que peut-être que ça te demandera du travail au début, mais petit à petit tu veras que ça viendra tout seul. Si c'est nécessaire, tu peux recourir à des souvenirs, des moments de ta vie, des besoins etc... mais s'il te plaît, que ce ne soit pas moins de la moitié d'une page, que ce soit une lettre, pas un service que tu me rends, ok!

Un autre jour, le matin ou l'après-midi, lis cette carte à voix ahute et portes-y bien ton attention, et s'il te plaît dis-moi tout ce qu'il s'est passé pendant tout le processus (si tu as eu des indécisions pour commencer la lettre, ce que tu as senti en la lisant et ce que tu as senti après)

Je te dirai ensuite le pourquoi de cet exercice, et nous verrons si les objectifs se sont validés!

Prends soin de toi

Escribele tooodo, todo lo que quieras, si crees que son muchas cosas, escribe varias hojas, no importa que hagas pausas... puedes escribir reclamos, agradecimientos, absolutamente todo vale!

Por cierto, necesito tu ayuda en pequeñas traducciones... pero te las mando en mensaje personal...


Ecris toouuut, tout ce que tu veux, si tu crois qu'il y aura beaucoup de choses, écris plusieurs pages, ce n'est pas grave si tu fais des pauses...
tu peux écrire des plaintes, des remerciements, absolument tout, d'accord!

Au fait, j'ai besoin de ton aide pour de petites traductions... mais je te les envoie en message privé...